La grande bloggeuse des feujs sur Facebook
Sur la boîte messenger de sa page HRPT Histoires du Rabbi/Nitsots paper (30.000 abonnés), de nombreuses personnes y écrivent leurs angoisses et soucis personnels. Malgré son problème de santé, elle leur répond que « derrière chaque épreuve se cache un bien mais que nous n’avons pas le niveau pour nous en rendre compte ». Grâce à sa puissante emouna et ses petites astuces, cette jeune « diffuseuse » de Torah ne s’essouffle jamais, elle réunit des fonds pour les gens malades, sauve des couples en difficulté et ramène des personnes qui sont loin dans le but d’avancer doucement mais sûrement dans la Torah et les mitsvot . Peu importe le niveau de pratique, elle n’est pas rabbanite mais elle aide la communauté juive du monde entier à avancer avec un peu plus de lumière à travers des directs sur les réseaux sociaux.
« Moi je n’ai rien fait, c’est Hachem qui me donnent les bons mots »
« Moi je n’ai rien fait, c’est Hachem qui me donnent les bons mots », dit-t-elle. Un bel exemple, une grande leçon de vie et un cœur à prendre. Facebook : @histoiresdurabbi Instagram : HRPTHistoiredurabbi .
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Using graphology to advice parents of children with attention deficit disorder Handwriting, like the mirror of the soul, reflects our conscious and unconscious personality and its different levels: intellectual, emotional, mental and physical, and, among others, examines our level of communication with those close to family, friends, others and us. Each one of us, using writing tools, "projects" his personality on the paper. It shows one's type of behavior, thinking and feelings, our attitude towards oneself and our surroundings. In fact, the paper reflects the environment within which the person performs.
