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Le rêve Américain est né au 16ème siècle lors de la colonisation de l'Amérique par l'Angleterre. Le mythe de l'Eldorado, la conquête de l'Ouest sont des expressions qui ont évoqué durant des siècles les mérites et les miracles du continent Américain. Le rêve Américain davantage qu'une idée est un espoir pour toute personne, quelle que soit son origine ou sa religion, son passé ou son parcours, d'accéder au succès et à la prospérité, à force de courage, de persévérance et de travail. Partir de rien pour arriver au sommet, ça fait rêver !
L’idéologie Beaucoup de personnalités ont incarné cette idée, notamment dans l'industrie cinématographique. En effet, depuis plus d'un siècle, le cinéma hollywoodien participe à la construction du rêve Américain et à la diffusion de la culture Américaine à l'étranger. Hollywood a créé des stéréotypes qui ont influencé et influencent encore aujourd'hui non seulement le mode de vie des Américains mais également celui de tous les spectateurs internationaux, à tel point que beaucoup de sociologues se demandent si nous sommes après tout façonnés uniquement ou principalement par le cinéma ? Nous ne nous rendons pas vraiment compte de l'impact que le cinéma exerce sur l'Inconscient collectif et notre Inconscient personnel. C'est cette influence que le cinéma exerce sur les mentalités qui a poussé des millions d'apprentis acteurs et actrices à tenter leur chance à Hollywood.
Dans son livre intitulé : ''Hollywood et le rêve Américain, cinéma et idéologie aux Etats-Unis.'' Anne-Marie Bidaud pense que : « l'idéologie américaine s'exprime [...] d'abord sous forme de vision d'avenir, de projet utopique, aux contours suffisamment vagues et flexibles pour traverser l'histoire, tout en conservant le désir permanent de se rapprocher au plus près d'une Amérique idéale. Cette idéologie utopique vient s'appuyer, du moins dans le cinéma américain, sur la notion de «mythe» qui tente de naturaliser une version de l'histoire dans l'inconscient collectif américain, afin de définir aussi bien le passé des États-Unis, que son devenir.
le rêve Américain n'est-il pas après tout qu'un rêve ?
» Par conséquent, suite à cette analyse n'est-on pas en droit de se demander si le rêve Américain n'est-il pas après tout qu'un rêve ? Comme le proverbe Chinois le résume si bien : ''Tout le monde veut atteindre le haut des escaliers mais personne ne veut monter les marches.'' La réalité Quand elle est arrivée à Los Angeles, l'actrice Megan Fox était tellement pauvre qu'elle n'avait pas assez d'argent pour s'acheter des lames de rasoir; Brad Pitt a dormi deux ans dans un camion, selon ses dires ; le fantastique Al Pacino a dormi dans sa voiture de longues années avant de devenir le monument que l'on connaît.
Sylvester Stallone, l'interprète inoubliable du boxeur déchu Rocky Balboa, est parti de rien. Personne ne voulait acheter le scénario de Rocky. Stallone raconte comment il a dû faire preuve d'une inlassable persévérance face aux multiples rejets qu'il a dû essuyer. Ces anecdotes de célébrités parties de rien sont multiples et variées. Aucun film ni aucune série ne montrent vraiment ce qui se produit entre le début et le milieu de l'ascension d'une star car le mythe est le moteur du rêve Américain et de son idéologie, les déboires et les sacrifices n'en font pas partie... .
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INÉDIT : DANIEL LEVI À COEUR OUVERT
Initialement connu pour être l’emblème des « Dix Commandements », le jeune auteur-compositeur-interprète est fier de ses cinquante-huit ans et de ses cinq albums studios. Sa célèbre voix « full of vibes » nous avait tant manquée… mais il ne s’arrête pas l? . Il remonte à l’Olympia, part en tournée internationale, et en prime, sort un double-album Best-Of ! À une période de sa vie où il est mis à l’épreuve, Daniel se confie et nous parle de ce qu’il appelle « l’aventure extraordinaire ». Affecté par « la » maladie, il a passé le cap. Sa fameuse « envie d’aimer » ne l’a jamais autant poussé vers la Emouna ! Pour lui, Hachem ne l’a jamais abandonné, Il lui a juste permis un renouveau. Au cœur de la ville ensoleillée de Marseille, dans un petit restaurant casher de la rue St Suffren, un homme simplement heureux portant un t-shirt de Clint Eastwood, et une casquette à l’envers pour l’occasion, Daniel, le vrai, l’authentique, nous livre ses sentiments les plus profonds en s’adressant aux lecteurs de FREQUENCE JUIVE.
